22 mai 1848, les esclaves martiniquais brisaient leurs chaînes, pendant plus de 2 siècles, étaient contraints sous le joug de travailler pour l’enrichissement d'une classe de profiteurs, d'esclavagistes. Lors de la libération, ce sont les tenants de cette classe esclavagiste qui furent indemnisés, car ils subissaient un lourd préjudice selon les autorités de l'époque. Les esclaves n'eurent rien, pas un bout de terre, pas un sous pour se construire une vie, rien de rien, si ce n'est des lois contre le vagabondage qui tentaient de les réinstaller dans la servitude.
Pendant tout ce temps, où nos ancêtres furent occuper à survivre et enrichir cette classe d'esclavagistes, ils ne purent accumuler des richesses, ni transmettre quoi que ce soit à leur descendance si ce n'est la misère.
Aujourd'hui, les réparations s'imposent pour réparer cette injustice.
Et quand j'entends des historiennes noires, des moins noires, des personnalités communautaires noires et moins noires, dire non aux réparations, je n'ai qu'une envie : celle de leur cracher à la gueule et leur dire que vous me trouverez sur votre route, bande de chiens et de chiennes.
Et quand j'entends des historiennes noires, des moins noires, des personnalités communautaires noires et moins noires, dire non aux réparations, je n'ai qu'une envie : celle de leur cracher à la gueule et leur dire que vous me trouverez sur votre route, bande de chiens et de chiennes.
Tony Mardaye
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