Il y a "l'étymologie", qui constitue en quelque sorte l'historicité de la constitution des termes à partir de différents éléments sémantiques d'origine, et par là, de la signification que nous leur accordons aujourd'hui...
Mais il y a par-delà celle-ci, le sens fondamental des "phonèmes" de notre langage humain, celui qui est commun à toute notre espèce unique "homo", et dont les différentes langues ne sont que des combinaisons différentes des "variations cycliques" inévitables de celui-ci, ce que les linguistes identifient en les désignant par "rotations du langage", mais auxquelles ils accordent à tort des raisons physiologiques...
En réalité, ces variations sont logiques de la marque du "temps" sur les termes, autrement dit, elles constituent une forme "d'usure" de ceux-ci, étant entendu qu'en aucune façon nous ne saurions user de "l'inusable", autrement dit utiliser quoi que ce soit, serait-ce même de simples mots, qui ne portent la marque de cet usage.
Cette variation de la sémantique des termes par le fait de leur usage, et qui a pour effet de réduire dans le temps tout énoncé scientifique, au niveau d'une "légende", a conduit les grands sages de l'Egypte ancienne à concevoir un langage "non phonétique", et en ce sens insensibles aux variations du temps, et dit langage "sacré", les fameux "hiéroglyphes".
Celui-ci correspond aux implications sémantiques des phonèmes de notre langage humain, qui sont les éléments fondamentaux à partir desquels se constituent toutes les langues, mais qui eux, demeurent constants, avec ceci qu'ils ne sont pas directement explicites, ils ne peuvent l'être que selon leurs différentes combinaisons dans les variations occasionnelles et donc temporelles, des langues humaines...
C'est ce qui explique que malgré tous leurs efforts, les linguistes ne sont pas parvenus à identifier les "universaux du langage", c'est à dire des termes ayant exactement la même signification dans toutes les langues, d'où la contestation par certains d'une "langue mère", et par là, de l'unicité même de l'espèce humaine homo...
Il est facile de comprendre qu'en ayant accès à ce langage sacré, il est possible d'avoir une compréhension bien plus étendue de la signification profonde des termes que nous donnons aux choses, selon le très surprenant et insoupçonné "processus de nomination", et qu'à partir de cela, il est très facile d'établir ce qui peut logiquement lier, et insistons bien là-dessus, " par delà les âges", le site de Louxor, et la ville de Paris, telle qu'elle se trouve sise dans le "Parisis", l'enceinte sacrée d'Isis, et en laquelle fut transporté et ce n'est évidemment pas un hasard, un des deux obélisques de Louxor...
Il s'avère alors que parce que "telle qu'elle se trouve nommée", et même si elle semble aujourd'hui plongée dans une profonde léthargie, que c'est bel et bien de la ville de Paris que partira la "grande révolution universaliste"
Préparons-nous pour cet événement grandiose, qui fera basculer l'histoire de notre humanité...
Paris, le 8 juin 2013
Richard Pulvar